CITATIONS

Nietzsche :  «  Il faut porter le chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse »

"Les vérités tues, celles que l'on tait, deviennent vénéneuses."

"L'âme du monde se nourrit du bonheur des gens." [Paulo Coelho]

"L’esprit critique va de pair avec la liberté de conscience. C'est une valeur essentielle de la laïcité. "   (Henri Pena-Ruiz ,2003)

- “La superstition est à la religion ce que l’astrologie est à l’astronomie, la fille très folle d’une mère très sage” .( Voltaire)

"Il vaut mieux un petit chez soi qu'un grand chez les autres, mais il vaut mieux un grand chez soi qu'un petit chez les autres, mais en tout cas il vaut mieux un tout petit chez soi que d'être à la rue ".(J.B.)

"La vie est un rêve pour le sage, un jeu pour le fou, une comédie pour les riches, et une tragédie pour les pauvres".( Sholom Aleichem)

" Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être. " (Goethe)

"Le plus grand des défauts, c'est de croire que l'on n'en a aucun" (J.B.)

"Nous connaissons la Vérité non seulement par la raison mais encore par le Coeur " (Pascal )

 "La liberté consiste à choisir entre deux esclavages : l'égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est l'homme libre".   Victor Hugo 

"Le communisme et le marxisme ne seront plus d'actualité le jour où il n'y aura plus un seul exploité sur la terre "  (J.B.)

" Fouille au dedans de toi , c'est au dedans qu'est la source du bien et elle peut jaillir sans cesse si tu fouilles toujours"  ( Marc Aurèle, VII, 59, Pensées pour moi-même)

" Le savant sait et s'enquiert, dit un proverbe indien; mais l'ignorant ne sait pas même de quoi s'enquérir "   ( J.J. Rousseau)

"Tu n'y verras clair qu'en regardant en toi. Qui regarde l'extérieur, rêve. Qui regarde en lui-même, s'éveille."  [Carl Jung]

On ne ment pas à ceux qu'on aime .

« Il y a trois sortes de violences. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »

Hélder Pessoa Câmara